Comme chaque année, le repas de Noel....
Oui, Ok, z'allez me dire, le 21 janvier, les sapins sont partis à la déchetterie depuis longtemps.
Bon, alors disons, le repas de fin d'année...
La fin d'année....en janvier... C'est cela, wouiiii. Certes, bon, oui, restons zen et on s'adapte :
Comme chaque année, le repas annuel (ouf !) s'est déroulé un samedi soir. On y a mangé et on y a bu. Là d'ssus, je serai toujours bon !

Cette année, on a voulu innover et c'est une raclette qui a été prévue au menu. La raclette, c'est bon, c'est pas compliqué, ça demande peu de préparation et c'est convivial. Le seul hic, c'est que ça utilise, je vous le donne en mille, des appareils à raclette. Et l'appareil à raclette, ça carbure aux kilowatts !

Et fatalement, quand les tablées se sont installées et que tout le monde (sauf Henri) s'est mis en tête de faire fondre sa coupelle de fromage, la conso a connu un pic qui a fait sauter les plombs. Encore, et encore et pis encore encore.

Mais bon, après de nombreuses visites au disjoncteur et une réorganisation stratégique des branchements entre la salle, le bureau et la cuisine, on a tous pu engloutir (sauf Henri) notre large dose de fromage fondu.

Par contre, est ce parce que la raclette ça cale ou est ce parce qu'on se fait vieux, le dance floor n'a pas attiré la foule cette année et la soirée s'est terminée des plus sagement à peine minuit passé. On aura connu les ASMeurs bien plus en forme ! Mais des statistiques très poussées établies de manière scientifique montrent que l'ambiance de folie se déchaine une année sur deux. Le prochain cru sera donc explosif !

A l'année (?) prochaine donc pour un repas annuel qui, à vue de nez comme ça, n'a que peu de chance d'être une raclette.

Texte et photos : Laurent.