Même si maintenant l'usage du téléphone portable s'est imposé, on peut
difficilement faire confiance à cet engin pour contacter les secours en cas de
problème. Parfois, au large comme au fond de nos calanques, les p'tites barrettes
se font bien rares !
Aussi pour notre sécurité on ne peut faire l'économie de la présence à bord d'une
VHF.
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En France, il faut savoir que tout ce qui touche aux radio-communications est régi par l'Agence Nationale
des Fréquences (ANFR). Elle fixe la réglementation en accord avec les règles internationales, elle
accorde les licences d'exploitation, elle attribue les MMSI (ze Maritime Mobile Service Identity,
l'identifiant international unique) et c'est elle qui organise aussi les examens.
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Le domaine n'est pas particulièrement compliqué mais le sujet (et le manuel donc !) est complexe. Plus que le fond, c'est la forme qui laisse perplexe au premier abord : alphabet international (alpha bravo charlie...), messages de détresse, urgence et securité, canaux, les CROSS (qui sont MRCC), ondes métriques, batterie au plomb, licence, duplex, SMSDSM, Inmarsat (de A à F : attention le C ne transmet pas la voix et le E est supprimé en décembre), zones océaniques (qui n'ont rien à voir avec les régions océaniques) , le SAR, les SPOC, le reglage du squelch, le MID dans le MMSI, le NAVTEX qui relaye les AVURNAV et les BMS... Et puis, mieux vaut retenir qu'une RLS, ça se dit une EPIRB en english et qu'on répéte encore une fois MAYDAY en début de message mais que ce n'est pas le cas du SECURITE des messages de sécurité ! |
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N'en jetez plus ! Ce n'est pas compliqué, mais faut défricher le manuel à la machette pour progresser
tant il est touffu !
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Une fois installés, c'est parti pour 45 minutes et 20 questions !
En fait, pas besoin de tout ce temps pour boucler le QCM. 10-15 minutes max et tout le monde
est dehors. On est tous confiants, les impressions sont bonnes et le résultat ne devrait
pas poser de problème.
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