Chaque année, c'est pareil : on s'est réhabitué à fainéantiser au lit les samedi et dimanche matins et voilà que Avril nous déboule dessus sans prévenir et que la saison recommence !
Alors un beau (façon de parler) matin, on se retrouve projeté hors de son lit à un horaire indécent pour un week end par le hurlement du réveil. Là, alors qu'on est encore fébrile sous le choc de la déflagration, l'idée s'insinue peu à peu à travers les interstices de nos esprits encore brumeux : "mais pourquoi je ne me suis pas inscrit au club de macramé, moi ?"

Texte : Laurent. Photos : Manu.