Ce qu'il y a de bien avec la plonge du soir, c'est qu'on ne s'aperoit pas quand on est sous la surface que le temps est tout grissouillis.
Surtout quand, comme Henri, on ne sort jamais sans ses 2 giga-flashs dversant assez de lumire pour transformer sur les photos le grissouilliment le plus
intense en la plus lumineuse des journes de printemps.
Texte : Laurent. Photos : Henri.
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